Présentation et Quoi de neuf ou à venir ?


Bonjour

Voilà une petite présentation comme il se doit .
Si j'ai toujours été attiré par les couleurs je n'ai essayé d'étaler de la peinture à l'huile que sur deux cadres blancs entoilés. Pas d'école de dessin ;
juste voyagé suffisamment sur YouTube pour que cela me donne l'envie de faire de la poterie, du Raku.
Pour tenter cet artisanat, cet art, mon tour est en fabrication . J'ai choisi un tour à inertie qui sera fini au printemps 2019.
ça c'était en 2019...........Mais j'ai changer d'orientation avec la rencontre de Philippe Guilbeau

Philippe m’apprend qu'il y a un atelier modelage qui se réunit tous les mercredi au club Arc en Ciel à Parthenay.
J'y ai trouvé un intérêt : commencer à toucher, sentir ce que pouvait être de l'argile qui se laisse attraper , se façonner, se colorer .
Je me suis inscrit et le premier modelage que j'ai formé a donné vie à un pingouin qui s'est empressé de se parer d'un magnifique nœud papillon .

Mes essais, je les écris, les documentes au fur et à mesure des constructions. Elle sont pour un partage. Je suis novice et c'est un privilège de pouvoir partir de rien, parce que mes erreurs, mes échecs me feront grandir et les partager pourrons peut-être aider tout en étant aussi un historique de mes avancées 

Pour accéder aux autres pages cliquez sur les triangles gris dans ''archives du blog'' puis sur la page souhaité .

Bien à vous
Gérard

Les 7 dernières mises à jour
Pas encore au top ! : page n° 39
Le burin......non les burins ! : page 37 (ajout)
Teste de la Kitchen Litho   page n° 38 
Préparation d'une plaque de cuivre pour la graver :page n°36  
Graphite et Fusain : page 35    
Teste de gravure et affûtage du burin : page 34   
Découverte de la réalisation d'estampe et de lithographie n°1 : page 33




Pas encore au top ! : page n° 39

Je continue d'essayer mais j'ai toujours ce problème de tâche ! 
pour avoir une trace des vidéos que j'ai regardé j'ai noté de l'une d'elle tout le procédé pour arriver à obtenir une estampe avec une autre façon de faire. 

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L’inventrice de la Kithen litho sur feuille d’aluminium est Emilie Aizier qui utilise du cola pour l’acidulation rendant les parties non grasses Hydrophiles laissant les parties grasses Hydrofuges
en mouillant l’alu l’encre grasse ne se dépose que sur les traits gras .


Procédé de Carolyn Muscat qui utilise de la gomme arabique, du jus de citron 100 % comme acidulant

En matériel et autres produits identiques à Emilie

de l’huile ordinaire, de la farine ou du talc, de l’eau et de l’encre grasse.

Une plaque de plexiglas qui peut être grainé pour obtenir une texture ; support de la feuille d’alu .
Deux éponges , un rouleau encreur, un polissoire, du ruban adhésif,deux petites bassines,du papier essuie tout , du tissu étamine, un pinceau


Préparation de la gomme arabique

si celle ci est en poudre , la préparer la veille avec 100ml d’eau pour deux cuillères à soupe de gomme, conservé dans le frigo  sa consistance devient mielleuse et brun claire;

 Le dessin
Après avoir installé la feuille d’aluminium le dessin est tracé avec divers crayons gras sans toucher l’alu avec la main ; pour cela on peux éventuellement utiliser une feuille ou un pont en protection.

Traitement de l’alu, le dessin fini avec Émilie
le dessin fini est acidulé avec du cola

Traitement de l’alu, le dessin fini avec Caroline

  1. Posez un peu de la farine ou du talc sur l’alu puis étalez celle ci sur toute la surface sans agresser l’ouvrage.

  2. Versez du jus de citron et l’étaler doucement pendant de 2 à 5 minutes, puis épongez avec éponge humide

  3. laisser reposer

  4. remettre du citron et épongez de nouveau avec l’éponge humide. On peux sécher ou pas.

  5. À l’aide d’un pinceau étalez de la gomme arabique pendant 1 à 3 minutes . Puis essuyez en laissant une fine couche;laissez sécher pendant au moins 15 minutes.

Préparation de l’encre de façon identique pour Émilie et Carolyn

Si celle ci est trop fluide l’épaissir avec un peu de talc ou de la farine .
Il est possible de conserver l’excédant dans une feuille d’alu repliée avec un repère pour sa couleur .

Préparation de l’encrage

Nettoyez le dessin avec de l’huile puis humidifiez en alternant jusqu’à l’apparition du dessin fantôme complet.

Passage de l’encre

Alternez (éponge humide/éponge sèche/rouleau finement encré ) jusqu’au bon encrage pour pouvoir imprimer.

Impression elle peut se faire sur du papier humide ou sec avec une cuillère, un polissoire, ou une presse.
En cas d’impression sur papier humide nous le sécherons entre des buvards.

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M
T
G
Y
Fonction Sound est limitée à 200 caractères

Teste de la Kitchen Litho page n° 38

 

Pour de la lithographie : une pierre calcaire, de la feuille d'aluminium de cuisine ou en plaque, un carreau de marbre 

Sur la matrice dégraissée, propre ; les dessins sont réalisés avec des crayons gras ou des matières grasses de toutes sortes.(ex: huile et pinceau, encre de chine.....) une belle liste.

Puis avec.... 

Du cola (acide phosphorique et gomme arabique ) ou du citron ou du vinaigre (acide acétique) avec de la gomme arabique, ont permet aux zones non dessiné de les rendre hydrophile 
Les zones dessiné étant hydrophobe 

en mouillant la matrice l'encre grasse ne se déposera que sur le dessin hydrophobe. 

La  Kitchen litho , en d'autre terme de la lithographie dans sa cuisine. Et bien oui grâce à Emilion , donc à Emilie Aizier. (atelier Kitchen print ) 
je possède maintenant ses 3 livres et j'ai regardé quelques vidéos sur cette pratique.

Alors bien sur à voir, à lire il me vient le mots 'fastoche' et bien non !
Parce que ce qu'il manque c'est sentir la délicate manière de faire .
alors le premier essai ça donne ça !

 pas génial alors il faut persévérer  et ......
 


 
Là je grimace et je dois trouver ce qui ne va pas, 
j'explique: la technique de la Kitchen litho consiste  à utiliser de la feuille de papier d’aluminium de notre cuisine. Sur la face mat sans mettre les doigts nous réalisons un dessin avec plusieurs possibilités de crayons bien décrit dans le livre ou les vidéos. Puis nous versons du cola dessus quelques petites secondes et rinçons à l'eau. 
Pour un dessin trop gras nous nettoyons la feuille d'alu avec de l'huile de cuisine ordinaire qui efface le dessin en laissant une trace fantôme............... rien de difficile!
Sur une plaque de verre ont dépose un peu d'encre taille douce que nous étalons avec notre rouleau de façon homogène. Puis nous mouillons notre papier d'alu et passons le rouleau afin que l'encre se dépose sur notre dessin en passes successives. trop facile mais ....... pourquoi ?
 
Et bien tout est dans 'sentir' , mouiller sans trop sinon le rouleau glisse et laisse de l'encre où il n'y en a pas besoin. Rouler sans trop sinon nous saturons notre dessin qui finira pas baver. En ce monde , pardon dans cette activité rien ne vaux  la douceur que je traduis par sentir ! ressentir dans le geste de notre main.
 
Bon et alors ........ avec de la persévérance et patience ça marche .  
 
 
Oui mais acte II : Un acquis peut ce déclarer comme tel si il est reproductible plusieurs fois or ce n'est pas encore le cas !
convaincu d'avoir trouvé comment faire j'ai reproduit un dessin sur calque puis sur mon papier d'alu avec du papier carbone noir qui ne ma laisser qu'un relief en creux sur ma feuille d'alu .
En suivant ce relief des trait principaux j'ai pu dessiner la tête de mon cheval avec un crayon lithographique (en teste) . 
  

Après le premier encrage ; première impression sur feuille de type japon. Un manque d'encre est bien visible mais parait normale pour un premier tirage.

Il me semble avoir réussi mais au second encrage des tâches apparaissent sur mon alu que je n'arrive pas complètement à faire disparaitre avec mon éponge ! 
Je décide une deuxième impression sur papier ordinaire sans insister sur l' appuis nécessaire au transfère convaincu du raté .

je n'ai pas encore compris pourquoi un tel résultat alors que les vidéos que j'ai regardé pour apprendre paraissent d'une telle facilité.
Je sais que le mieux est un stage pou un meilleur savoir. Je n'en ai pas encore trouvé prés de chez moi de façon raisonnable.
En attendant je vais recommencer, je dois y arriver !
 

voilà l'état de ma feuille d'alu après le troisième encrage.



  
 


 


   
 

Le burin......non les burins ! : page 37

 

 j'accumule des savoirs théoriques qui vont me permettre de ne pas réinventer l'eau chaude.

Dans les arts de l'estampe plusieurs techniques s’offrent à nous . Celles qui m’intéressent sont celle qui demande un minimum d'outil . Les outils sont simples : burins, pointes, échoppes, onglettes, gouges ; pour le cuivre, le zinc, le lino, le plexiglas, le bois pour un ouvrage en taille douce ou en taille dépargne

 

Il y avait la trace de la meule sur la face biseauté de mon burin neuf, ce qui m'a amené à me poser la question de l'affûtage et après l'avoir testé, j'ai décidé de l'affûter. D’où la fabrication de mon outillage 

Si j'ai pu gravé avec ; les lignes n'étaient pas aussi nettes que dans des vidéos.
J'ai donc amplifié mes recherches en m'attardant d'avantage au visuel.
J'ai chercher quel angle de pénétration il fallait avoir . J'ai trouvé les 5° mais cela correspond à l'angle de la tige du burin lorsque qu'il est posé sur la partie plate de la poignée.(ce qui n'est pas absolu) Après réflexion l'angle d’attaque est celui que l'on fait pour avoir des profondeurs faibles ou profondes et certainement lié aussi à l'affûtage.
c'est la dextérité, le ressenti de mon geste accompagné du visuel qui me permettra de réussir les gravures que je réaliserai.
Mais il y a autre chose que j'ai appris. les burins carrés sont bons pour des lignes droites et pour les courbes il est conseillé d'avoir un burin arrondi 
Il y a donc plusieurs variétés de burin avec des noms différents (échoppes, onglettes... ) 

 

La face de mon burin carré est maintenant poli mais le point critique c'est la pointe qui doit être parfaite, car c'est elle qui attaque le cuivre de quelques petits dixièmes de millimètres en fonction de la pression que je vais exercer .
je n'ai pas encore bien réussi à voir ce qu'on appel le morfil. Mon burin neuf à été légèrement arrondi sur les deux face qui permet la pointe, m’empêchant d'utiliser les plans de ses faces pour retirer le morfile s'il y en à un.   Peut être qu'il me faudra acquérir une réglette de cuire à défaut d'un morceau . 


  

J'ai commandé un burin rond , peut être que je fabriquerai un autre outillage ci cela m'est possible en fonction de sa forme.

Avec  ma petite plaque d'essai, j'ai creusé son empreinte dans  le support tournant bricolé. J'ai bien fait . il faut un pression suffisante pour découper le sillon et débutant j'ai dérapé plusieurs fois sans blessure parce que conscient du danger je n'ai pas laissé ma main de maintien dans l'axe de mon burin . 
Mon support tournant ne peu qu'être provisoire . les coussins en cuire de graveur sont onéreux. Je t'enterai d'en fabriquer un en simili cuire.      

Préparation d'une plaque de cuivre pour la graver : page n°36

J'ai naturellement utilisé un calque pour copier le dessin que je veux essayer de graver sur une plaque de 15 x 15 cm au burin affuté avec l'outil d'affûtage que j'ai réalisé. Je testerais aussi l'effet de la pointe qui peut théoriquement me permettre des nuances.

Cette plaque va sur mon outils qui permet de la tourner pour l'action de gravure afin d'avoir une bonne position.

le Dessin sur le calque doit si nécessaire être placer sur le papier carbone à l'envers du dessin original pour être à l'endroit au résultat de l'impression. 
Pour cet essai j'ai donc utilisé un papier carbone noir ordinaire. Je sais qu'il en existe de différentes couleurs et matière mais je ne sais pas encore celui qui conviendrai le mieux.

J'ai scotché mon calque derrière la plaque pour pouvoir le lever et voir le transfère lorsque j'en ressent le besoin. Mon carbone intercalé, j'ai décalqué mon dessin. 
Le résultat est moyen + et la question de son effacement lors du gravage avec ma main je dois en tenir conte.

Sur une plaque de 5 x 5; sur un tracé avec le carbone j'ai posé un vernis mat à la bombe.

Mon dessin est fixé contrairement au test sans vernis. Ma main pourra glisser dessus sans effacer les lignes pas encore graver.
Je n'ai pas dessiné les trais qui seront réalisé avec la pointe, comme les feuilles des arbres. 
Je pense que le dessin préparatoire doit être les lignes principales.
 

Voilà le résultat 


  

Graphite et Fusain : page n° 35

J'ai écrit que j'avais testé le graphite et le fusain ; voilà donc ce que j'ai réussi à dessiner.
j'ai écrit que je ne savais pas dessiner ce qui veut dire que noircir une feuille sans modèle je ne pourrais pas le faire sauf pour éventuellement de l'abstrait primitif sans avoir en mémoire les techniques ou les codes que l'on peut apprendre dans une école d'art. Quant on à appris qu'un personnage se décompose en 8 têtes on peut aborder de grossières silhouettes, quelques notions de perspective aiderons à un relief. 
Tous cela peut aider à des dessins brutes. Je ne m'y suis pas exercé.

Le modelage m'a appris qu'un modèle était très utile et qu'à partir de lui nous pouvons dévier pour exprimé une préférence dans l’expression qui nous attire.
Si je n'ai rien modifier dans les quelques reproductions aux graphites ou aux fusains c'est alors la question de mon choix qui fait sens.
Pour reproduire il suffi de connaitre la méthode des carreaux ou des diagonales ainsi que l’emploie d'un compas de réduction. Certain utilise aussi un projecteur. 


J'aime le compas qui m'oblige d'avantage.

L'idée d'exposer me plait, juste pour un partage. J'ai donc dessiné un petit symbole à coté de ma signature pour figurer quel outil j'ai utilisé. Je ne les ai pas tous marqué, juste les derniers.

Graphite

Teste d'un graphite avec une photo méthode des carrés 

Fusain seul  


 
Fusain pour un futur modelage.
 
Fusain et graphite 

 

 
 Voilà quelques réalisations qui me donne  à penser que je vais pouvoir m'atteler à la réalisation d'estampes. je dois pour cela en maitriser les techniques que j'ai choisi d'explorer.















Test de gravure et affûtage du Burin (page n°34)

Dans cette nouvelle page je vais aborder mes premiers essais en gravure .
Fort du coût des plaques de cuivre j'ai acheté quelques petits carrés de 5 cm pour mes premiers testes.

J'ai naturellement regardé des vidéos pour comprendre comment il fallait procéder avec mon petit burin .
les graveurs utilisent des coussins en cuire (de 130 euros et plus ) ou une tournette pour les grandes plaques, car c'est la plaque qui doit tourner et non la main du graveur.
J'ai donc avec ce que je possédais réalisé un support pour mes petites plaques me permettant de les tourner.
Il s'agit d'un bricolage. 



la demie sphère me permet de faire tourner mon support de plaque .  


Résultat de mon 1er essai de gravure avec le burin sur une plaque de 5 cm. 
Un autre plaque de 150 x 150 mm sur cette outil est possible. Je ne l'ai pas encore testé . 
 
Naturellement une des bonnes conditions pour réaliser une gravure est un bon affûtage du burin 
Là pas simple, à main levé (évidement difficile pour un débutant) ou avec l'aide de différents outils.J'ai décidé de fabriquer un outil avec des chutes de bois (0 euro)
je procède à l'envers. Au lieu de bouger le burin sur la pierre, c'est la pierre qui bouge sur le burin.  
 

Dans un bois dur coupé à 45° (angle de coupe du burin) j'ai usiné son empreinte : un v sur la pente.Sur un autre morceau, sur une face j'ai aussi usiné un v puis collé les deux morceaux. J'ai ajouté deux faces qui me serve d'appuis sur table et la mise en place d'un élastique pour obtenir une pression sur le burin vers la pierre d'affûtage . 





L'affûtage est facile, pas de réglage et toujours à l'angle choisi 45° 
Une légère pression avec l'élastique permet un rodage efficace. 
Une amélioration peu encore être faite, ce sera pour le suivant d'un autre angle ou d'une autre dimension. Mon burin est un carré de 2 mm qui me donne un affûtage en losange 





Découverte de la réalisation d'estampe et de lithographie n°1 (page n°33)

 J'aime découvrir différentes techniques avec le modelage j'ai expérimenté la terre crue, cuite, façon en plaque, et la plastiline.

Attiré par le dessin, je teste le graphite, le fusain et la sanguine à l'aide de modèles.
Au club Arc en ciel de Parthenay il y a un atelier eau forte que je viens de rejoindre.
pour commencer à comprendre cette façon de créer des estampes un bon nombre de vidéo m'ont fait découvrir tout ce monde qui tourne autour de la gravure en passant par la lithographie.

j'ai retenu l'eau forte avec un dessin sur une plaque de cuivre ou zinc recouvert d'un vernis qui sera griffé à l'aide d'une pointe pour ôter le vernis protecteur à l'endroit du dessin.
La plaque trempé dans de l'acide (perchlorure de fer) sera mordu pour laisser une empreinte qui sera encrée. Un passage sous presse marquera le papier que l'on aura choisi .(papier coton, papier japonais) 
Sans Vernis il est possible de graver le dessin avec un burin de graveur et la pointe, donnant les creux nécessaire à l'encrage.

Une autre technique découverte est la kitchen Litho d’Émile Azier. entrant dans un procédé de lithographie.

Les moyens utilisé sont du papier d'aluminium ménager en feuille, du cola, de l'huile de cuisine de l'eau et divers crayons de dessin ou matière grasse. 
le principe est le même que sur la pierre calcaire, l'alu remplace la pierre.
cette technique fonctionne aussi sur un carreau de marbre .

Il est possible de découvrir cette façon avec les livres d’Émilie ou consulter son site (Atelier Kitchen print .org)

Dans les supports pour de la gravure il y a le bois (historiquement le premier à avoir été utilisé) 
le lino, le carton ...
Les plaques de plexiglas font partie de ce que je vais expérimenter. 

Mes outils    



 






Le début de mes expérience sur plexiglas 

Pour une meilleur vision de la gravure en cours on  intercale une feuille sombre pour mieux sentir ce que l'on fait.
Par exemple les ombres sur l'encolure sont faites sans le dessin, avec la feuille noir. 

 

 A gauche le résultat sur un papier type Japon collé à la colle de riz sur un papier ordinaire.
Il est gondolé parque je n'ai pas mouillé la feuille ordinaire, et ne les ai pas séchées ensemble entre deux buvard .
c'était volontaire, pour  l'expérience du résultat.

Avant encrage les papiers doivent être mouillés, puis essuyés. Après passage à la presse, au baren Japonais ou à la cuillère. L'ensemble doit être mis entre des buvards jusqu'au séchage de l'estampe .  

Résultat d'un autre teste sur papier ordinaire sans les buvards sans presse mais avec une cuillère .
 




M
T
G
Y

Page n° 32 :Coucou

 Du temps est passé ! et alors qu'en est t-il de cette femme nue réalisé d'après le livre de Cristina Cordova 

je vous la montre 

 
Je ne me suis pas arrêté avec Sri, c'est le nom que je lui ai donné.Déesse du riz.
J'ai réalisé un autre modelage avec la même façon. Elle est La femme assise. 
Je vous la montre aussi .
 
 
Les deux ont reçu de l'huile de lin à saturation avant la mise en couleur à acrylique .
J'ai continué avec l'envie d'une femme habiller et d'un choix qui m'a été suggéré, c'est la Victoire de Samothrace que j'ai modelé toujours avec de la terre papier .
enduite aussi d'huile de lin et coloré avec plusieurs couches d'acrylique .
 
 
Je continu avec un modèle difficile trouvé dans un livre de Philippe et Charisse Faraut: Modelage du corps humain volume 2. 
Voilà le résultat